CO, un cabinet

CO a été conçu sur le modèle de l’entrepreneuriat social.

Dès notre création, nous avons souhaité apporter au secteur de l’Economie Sociale et Solidaire une offre de conseil en stratégie nouvelle, avec un modèle économique et juridique adaptés et cohérent ! Ainsi, en tant que SCIC, nous sommes nous-mêmes une structure de l’ESS.

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Une entreprise à mission au service de l’intérêt général

Comme une évidence, CO est devenue société à mission en 2020. Notre raison d’être, en bref : Permettre aux projets d’intérêt général d’accroître leur impact et leur pérennité grâce au conseil en stratégie
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Des cabinets sociétaires engagés

CO c’est l’engagement et la collaboration étroite de 6 cabinets de conseil partenaires qui mettent à disposition leurs ressources humaines et leurs compétences au service de l’intérêt général
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Une aventure collective

Dirigée par Benoît Gajdos et Pierre-Dominique Vitoux, notre équipe cœur de 6 personnes est dédiée à plein temps à l’accompagnement conseil des projets d’intérêt général
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Un modèle coopératif et non-lucratif

CO a fait le choix du modèle coopératif en prenant la forme juridique de SCIC – Société Coopérative d’Intérêt Collectif. Notre modèle économique est à but non lucratif.
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Une entreprise à mission

Comme une évidence, en 2020, CO est devenue Société à Mission.

Cela nous a permis d’inscrire dans nos statuts notre raison d’être et de la décliner en 3 objectifs qui constituent des engagements au quotidien pour notre équipe

Rendre le conseil en stratégie accessible aux projets d’intérêt général
Favoriser les engagements individuels et collectifs au sein de nos cabinets partenaires
Agir transversalement pour développer les modèles réunissant économie et intérêt général

Le regard de Muriel Barnéoud, Présidente de notre Comité de mission

Muriel Barnéoud

Directrice RSE & Qualité du groupe emeis

” En devenant entreprise à mission en avril 2020, CO a été un des pionniers du monde du conseil à se lancer dans cette aventure, une démarche audacieuse pour un cabinet dont la mission sociétale est sa raison d’être depuis sa création.

Peut-on parler de vitesse de croisière pour ce mode de gouvernance, doit-on le rechercher, est-on « condamné » à innover et renouveler en permanence le modèle ?
Difficile de se prononcer… Toujours est-il que la gouvernance posée fonctionne, le Comité se réunit, travaille, réfléchit… les équipes portent, animent, proposent, questionnent et se questionnent ; et l’ensemble construit.

Ce qui est à partager et à relever c’est l’engagement intact des équipes de CO, permanents ou de passage, pour embrasser et porter un peu plus loin cette ambition au profit de l’intérêt général, équipe formidablement mobilisée pour animer une communauté en perpétuel renouvellement… sans doute un de ses plus forts atouts de permanence et de résilience.”

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Une aventure collective

La gouvernance de CO

Gouvernance CO
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Un modèle coopératif…

CO est une Société Coopérative d’Intérêt Collectif (SCIC). Ce statut traduit pleinement notre volonté d’associer pleinement nos parties prenantes à la gouvernance de cette aventure collective !

La Présidence de CO est tournante : depuis avril 2023, c’est Patrick Nicolle, qui exerce ce rôle pour le compte du cabinet Bartle.

Nos deux instances de gouvernance en détail

1. Le Comité de surveillance

Composé des représentants de nos 6 cabinets partenaires et des 2 Directeurs Généraux de CO, il a pour objet de déterminer les orientations stratégiques de notre activité puis de veiller à leur mise en œuvre

  • Valérie Ader (Colombus Consulting)
  • Arnaud Gangloff (Kéa)
  • Pascal Gustin (Algoé)
  • Boris Imbert (Mawenzi Partners)
  • Patrick Nicolle (Bartle)
  • Jilani Djellalil (iQo)
  • Benoît Gajdos et Pierre-Dominique Vitoux (CO)
2. Le Comité de mission

Il pilote la bonne exécution de la mission définie dans les statuts juridiques de CO et évalue l’atteinte de nos objectifs. Ses membres siègent à titre personnel

  • Muriel Barnéoud
  • Frédéric Lavenir
  • Bernard Saincy
  • Valérie Ader
  • Alexandra Mousquès (CO)
  • Patrick Nicolle, invité permanent en tant que Président de CO
  • Benoît Gajdos et Pierre-Dominique Vitoux,  invités permanents en tant que DGs de CO
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… à but non lucratif

Dès notre création, nous nous sommes fixé pour objectif de bâtir une offre de conseil en stratégie accessible tant d’un point de vue culturel qu’économique.

Cela repose sur 3 leviers :

Un modèle non for-profit

La détention des actions de la coopérative ne donne lieu ni à une valorisation financière, ni à une distribution du résultat. Celui-ci est mis en réserve et réinvesti dans l’exploitation.

La mobilisation du mécénat de compétences

Une partie des jours de conseil réalisés au profit des structures reconnues d’intérêt général sont réalisée en mécénat de compétences par nos cabinets partenaires.

La mobilisation de financeurs de l'intérêt général

Plus de 60% de nos missions sont financées par un investisseur sociétal (Fondation, fonds, Groupes de Protection Sociale au titre de leur action sociale) au profit d’une structure d’intérêt général.
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Des cabinets partenaires engagés

Dès 2007, Syntec Conseil en Management, l’association professionnelle des acteurs du conseil en management, avec le soutien de l’association Le Rameau, met en place un groupe de travail qui s’attache au développement de l’engagement sociétal de ses adhérents. Ses travaux prennent leur pleine mesure grâce à la stratégie d’investissement sociétal d’AG2R LA MONDIALE au travers de son Fonds d’innovation.

Forts de cette expérimentation réussie, quatre cabinets de conseil concurrents (Algoé, Kea & Partners, Colombus consulting et Weave) décident de s’engager durablement dans l’accroissement de leur impact social en co-créant une structure de conseil en stratégie, exclusivement dédiée à l’accompagnement de projets d’intérêt général. Début 2021, Mawenzi Partners rejoint cette initiative entrepreneuriale, de même que Bartle en 2022 et dernièrement iQo.

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CO, un levier de développement pour plus de 100 consultants

Les consultants de nos cabinets partenaires ont l’opportunité de réaliser un détachement de plusieurs mois auprès de CO, ce qui leur permet d’enrichir leur parcours de développement professionnel en découvrant de nouveaux modèles d’entreprendre.

A leur retour dans leur cabinet, ils sont invités à mettre en pratique leurs apprentissages auprès de l’ESS dans leurs projets de conseil.

Pourquoi avoir rejoint l'aventure CO ?

Diane Michenot,

Consultante senior, Kea & Partners

Ce détachement m’a permis de pratiquer une autre approche du conseil en stratégie. Il m’a conforté sur le fait que notre métier peut apporter beaucoup de valeur à nos clients, et plus largement, avoir un impact positif sur la société. Tout dépend de la manière dont on conçoit et déploie notre accompagnement, de son objectif final et du public auquel il s’adresse.

Ce détachement chez CO a été un formidable levier pour m’engager sur des causes qui sont importantes à mes yeux, auprès d’acteurs qui ont un impact concret et structurant pour les populations qu’ils soutiennent, tout en continuant à monter en compétences et à m’épanouir dans mon métier de consultante.

Qu'apprend-on chez CO ?

Marion Burette,

Manager, Colombus consulting

Mon expérience chez CO m’a permis d’élargir mon champ de connaissance de l’Economie Sociale et Solidaire au contact d’acteurs de référence dans les domaines de l’emploi, de la santé ou de l’habitat.

Dans le cadre d’une mission de conseil pour l’association Solidarité Nouvelle face au Chômage via son Laboratoire des Entreprises Engagées (Lab2E), j’ai notamment contribué à la rédaction d’un recueil de témoignages traitant de la rupture du contrat de travail.

Discuter de ce sujet avec des psychologues, DRH, responsables RSE, bénévoles et personnes accompagnées par l’association m’a permis de mettre les différentes visions en perspective et cela a été passionnant.

Quels sont les enseignements d'un détachement ?

Louis Airy

Louis Airy,

Consultant senior, Mawenzi Partners

Quand j’ai appris que je pourrais continuer à exercer mon métier de consultant en travaillant sur les enjeux du bien-vieillir et de l’insertion, j’ai pensé : « Quelle chance ! » et j’ai sauté sur l’occasion.

J’ai été frappé par l’engagement des personnes avec qui j’ai pu travailler et par l’attente forte envers nos interventions, renforçant mon plaisir à exercer ce métier. J’ai aussi été marqué par la proximité des problématiques rencontrées par les acteurs des secteurs marchand et non-marchand, constitués d’associations qui font face à des enjeux de développement, de pérennisation de leur modèle économique ; des questionnements qui justifient pleinement notre rôle à leurs côtés.